Le principe de l’usine à sites repose sur les liens que vont avoir les sites dits “enfants” avec le site parent.
Pour faire l’analogie avec le SEO, il existe dans ce domaine le principe du cocon sémantique qui consiste à créer des liens logiques entre les pages de son site. On fera ainsi des liens entre chaque page de même niveau mais également des liens remontant le fil d’ariane (vers la page parente puis vers la page d’accueil).
Lors de la construction d’une usine à sites, on va retrouver ce même niveau de lien.
Le site parent sera celui de la marque, celui dont dépendent toutes les entités.
Chaque site enfant sera relié au domaine principal mais aura son sous-domaine qui lui sera propre.
Un exemple : Mon entreprise est une marque de voitures (imaginons Peugeot) disposant de plusieurs revendeurs à travers le monde.
Grâce à mon usine à sites, plutôt que de centraliser mes revendeurs sur mon site (peugeot.com) , je vais offrir à chacun d’entre eux, un site web.
Tous ces sites seront rattachés à mon site principal car ils auront chacun leur sous-domaine (auto-aquitaine.peugeot.com).
De cette façon, ma marque gardera un contrôle sur chaque site des revendeurs, tout en étant capable de déployer à grande échelle des campagnes marketing pour des portes ouvertes, des lancements de produits ou autre.
De même, chaque revendeur obtiendra une part d’indépendance grâce à un site qu’il pourra lui-même administrer.
Ainsi l’image de marque est harmonisée sur l’ensemble du groupe tout en préservant un intérêt pour les actualités locales.
Pour connaître le coût de déploiement d’un tel système, nous vous invitons à vous rendre sur l’article dédié.